Par Eroticam x
Vendredi 2 mai 5 02 /05 /Mai 09:30
- Publié dans : Histoires erotica-hard !

Je vous ai raconté comment j'avais transformé ma voisine Catherine en esclave sexuelle. Et bien voici la suite de son éducation. Je lui avais dit la veille :

- Chaque jour, tu devras avoir une tenue très sexy, à la limite de la décence sinon je te punirai. Chaque jour, je te donnerai une mission, si tu ne la réalises pas dans les temps ou pas du tout, tu seras punie en conséquence de ta défaillance.

Le matin suivant, elle m'attendait donc devant chez elle, vêtue d'un pantalon, un petit gilet de laine et d'une chemise à rayures roses; elle avait un gros sac fourre-tout à l'épaule.

- Bonjour, avant que tu ne me dises quoi que ce soit , je voudrais te dire que j'ai des affaires sexy dans mon sac mais pour ne pas éveiller les soupçons de mon mari, je ne les ai pas mises sur moi, j'en suis désolée. De plus, hier je me suis fais engueuler par mon patron parce que j'étais en retard et il ne veut pas que cela se reproduise trop souvent.

Nous partîmes de chez elle. Alors que nous roulions sur une route de campagne, je lui dis :

- Ok ! J'accepte que dorénavant tu mettes tes vêtements dans la voiture mais pour cela tu auras deux minutes, sinon tu seras punie ! Quand à ton patron, il faut que tu trouves un arrangement d'horaire en prenant sur tes deux heures de repas par exemple, fait au mieux mais je ne veux plus en entendre parler. Compris ?
- D'accord !

Et elle s'empressa de mettre ses vêtements, terminant tout juste dans les temps. Elle avait des petits mocassins noirs brillants, un tailleur gris dont la jupe arrivait tout juste au-dessus des genoux, avec une chemise blanche ouverte (je pouvais voir un soutien-gorge blanc en dentelle).

- C'est ça que t'appelles des vêtements sexy mais ça ne me fait pas bander et c'est très nul, lui dis-je en m'énervant.
- Mais c'est tout ce que j'ai, me dit-elle.
- Et bien il va falloir que tu achètes d'autres vêtements mais en attendant, je vais te punir.

J'arrêtai la voiture à l'orée d'un bois, nous sortîmes et je l'entraînai dans le bois. J'emportai avec moi une boîte de préservatifs et ma torche métallique. Arrivés dans une clairière non loin de la route, je lui demandai de se déshabiller. Alors qu'elle se mettait nue, je vis qu'elle portait une culotte tout à fait banale.

- Donne-moi ta culotte.

Ce qu'elle fit et je la déchirai de rage.

- La prochaine fois que tu portes une culotte, je déchire tous tes vêtements et tu rentreras nue chez toi ou à ton boulot, compris ?

- Oui, dit-elle en finissant de se déshabiller.

Lorsqu'elle fut nue, je lui tendis ma lampe torche.

- Mets-toi cette lampe dans le con et accroupis-toi dessus... En même temps, suce-moi.

Elle commença à monter et à descendre sur ma lampe et je sentis que certaines fois, elle perdait l'équilibre, ce qui lui enfonçait la lampe plus profondément dans le con et ma queue dans la bouche, malgré ses tentatives pour s'agripper à moi.

- Tiens, mets-moi ce préservatif.

Elle déchira l'emballage et commença à le dérouler sur mon sexe tout en continuant ses mouvements de va-et-vient sur ma lampe. Après quelques instants dans cette position, je décidai de la sodomiser.

- Mets-toi à quatre pattes tout en gardant la lampe dans ton con, sans y toucher avec tes mains. Si tu la lâches, je te sodomise avec mon sexe et la lampe en même temps. Tu vas avoir aujourd'hui ta première double pénétration, vaginale et anale.

Elle se mit à quatre pattes en serrant son con pour éviter de faire tomber la lampe.

- Comme ce matin, tu n'as pas fait ce que je t'avais demandé, je vais te sodomiser sans ménagements.

Je présentai donc mon sexe à l'entrée de son cul, je m'aperçus que sa pastille était un peu plus dilatée qu'hier et un peu rosâtre. Je lui maintins la taille et la pénétrai d'un coup, en accompagnant mon mouvement pour aller au plus profond d'elle. Elle cria de douleur mais au fur et à mesure de mes va-et-vient entre ses fesses, elle gémit de plaisir. Je lui demandai de se masturber en même temps avec la lampe pour m'exciter encore plus. Après quelques minutes de va-et-vient incessants, je sentis ma sève monter et j'eus envie d'une éjaculation faciale. Je me retirai de ses fesses, je lui pris la lampe des mains. Il s'écoula du liquide vaginal le long de ses cuisses au moment où je retirai la lampe qui était trempée, Catherine avait donc joui. Je lui mis la lampe dans le cul.

- Maintenant accroupis-toi sur la lampe et branle-moi car je veux éjaculer sur ton visage.

Elle retira le préservatif et me branla tout en léchant mes bourses puis le gland quand soudain je fus secoué par une éjaculation puissante qui éclaboussa son visage, ses cheveux et ses seins. Elle me prit dans sa bouche pour les autres éjaculations et je vis du sperme en sortir et s'écouler le long de son menton et de son cou. Je lui demandai de bien nettoyer mon sexe, de sortir la lampe de son cul et de la nettoyer aussi. Ensuite, elle pourrait se rhabiller. Nous retournâmes à la voiture, elle s'essuya le visage et les cheveux avec une serviette qu'elle avait dans son fourre-tout et se parfuma.

- Maintenant , tu vas réaliser ta première mission.
- Je ne veux pas être en retard à mon travail ce matin, je ferai cette mission en fin d'après-midi car j'aurai plus de temps si cela ne te déranges pas, me dit-elle.
- Tant pis pour toi, tu seras donc à nouveau punie ce soir et très sévèrement puisque que tu oses me répondre.
- Laisse-moi le temps d'arranger mes horaires avec mon patron et je ferai tout ce que tu voudras le matin.
- D'accord, pas de problème mais tu seras quand même sévèrement punie ce soir et ceci en plus de ta mission.
- Très bien.

Et je l'emmenai à son travail. À 16 heures, quand je récupérai Catherine à son travail, elle me raconta que son patron était d'accord pour faire un arrangement d'horaire à la condition qu'elle aille travailler un samedi sur trois. Tout en roulant, je lui expliquai sa mission qui était très simple à dire mais plus difficile à réaliser. Il s'agissait en fait d'aller draguer un homme que je lui désignerais et de l'exciter au point qu'il accepte de la baiser avec moi en pleine nature. Je m'arrêtai devant un café, je laissai Catherine dans la voiture, j'entrai à l'intérieur pour repérer une cible et je vis un homme d'environ 30 ans, en costume noir, assis à une table dans le fond à l'abri des regards ; c'était parfait pour l'initiation de Catherine. Je retournai à ma voiture, expliquai la situation à mon esclave.

- Tu as quinze minutes à partir de maintenant pour faire ce que je t'ai demandé.

Elle sortit de ma voiture et entra dans le café, je la vis se diriger vers le fond puis après, plus rien ; impossible de voir ce qui se passait. J'attendis donc quand au bout d'un quart d'heure je la vis ressortir... SEULE. Je sortis rapidement de ma voiture, l'attrapai au passage et l'emmenai dans le café.

- Pourquoi es-tu ressortie seule ? Lui demandai-je.
- Je n'ai pas osé.

Je demandai à Catherine de rester au bar à la vue de ce client et je me dirigeai vers lui. Il tapait sur un ordinateur portable.

- Excusez-moi, vous voyez la blonde d'une quarantaine d'années au bar.
- Oui, et alors !
- Et bien, c'est une vraie salope qui baise à merveille. Pour vous prouver à quel point c'est une salope, elle a accepté de jouer un jeu avec moi qui consiste à être mon esclave et à faire tout ce que je veux.
- Très intéressant et ça marche, elle fait vraiment tout ce que vous voulez ?
- Oui.
- C'est bien mais cela ne me dis pas en quoi puis-je vous aidez ?
- Je voudrais qu'on la baise ensemble.
- Ah bon et elle est d'accord ?
- Tout à fait. D'autant que cela fait parti de notre petit jeu. Elle doit faire tout ce que je lui demande.
- Pouaf !!! Ce sont que des conneries tout ça, j'ai failli marcher, cela m'étonnerait qu'elle vous obéisse comme cela au doigt et à l'œil.
- Écoutez, si je vous prouve qu'elle m'obéit au doigt et à l'œil, vous acceptez de la baiser avec moi.
- OK !
- C'est quoi votre prénom ?
- Marc.
- Bon Marc, qu'est-ce vous voulez comme preuve ? Vous voulez qu'elle vous masturbe, là, en plein café ou qu'elle vous taille une pipe dans les toilettes en bas ?
- Et pourquoi pas les deux si c'est vrai ce que vous me dites ?

J'appelai Catherine qui vint aussitôt vers nous.

- Catherine, je te présente Marc, assis-toi à côté de lui. Marc voudrais que tu le masturbes, maintenant.

Je me déplaçai pour les cacher de la vue du barman.

- Marc, vous pourrez aussi constater qu'elle ne porte pas de culotte.

Et je l'incitai à mettre sa main sur le sexe de Catherine, ce qu'il fit sans hésiter. Pendant ce temps, cette dernière était passée à l'action et je voyais son bras remuer. Au bout de quelques instants, je vis Marc se crisper, j'intervins aussitôt :

- Marc n'avez vous pas envie d'aller aux toilettes ?
- Si, si... J'y vais.

Il ferma sa braguette, se leva et descendit aux WC.

- Maintenant Catherine, tu vas le rejoindre aux toilettes pour Hommes et tu vas le sucer, j'arrive un peu plus tard. C'est ta dernière chance pour ne pas être sévèrement punie. C'est compris ?
- J'ai compris.

Elle se leva et descendit l'escalier qui mène aux WC. J'attendis quelques minutes en pensant au fond de moi :

- Pourvu qu'elle ne le fasse pas, comme cela je pourrai la punir...

Mais inconsciemment, je voulais qu'elle le fasse pour l'habituer à se dévergonder et pouvoir rendre plus excitant notre jeu.

 

 

Article publié  sur album mature

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