Par Eroticam x
Samedi 29 décembre 6 29 /12 /Déc 15:04
- Publié dans : Histoires erotica-hard !
Elle fonça alors sur moi, tête baissée. Mêlant à nouveau mes réflexes fulgurants à la magie de Noël qui perdurait encore dans mon corps, je lui sautai dessus, passant la chaîne en-dessous de ses bras contre sa poitrine rebondie. Arrivé derrière elle, je serrai fermement la chaîne, lui appuyai sur le dos avec mon coude pour la soumettre en tenant mon bassin contre son cul. Ce contact malgré moi me fit bander à nouveau. Peut-être que si je la sodomise, le Père Fouettard sera trop excité pour surveiller Noëlle, me dis-je. Mais je n’eus pas le temps de réfléchir plus loin que quelque chose de dur et d’épais me frappa le cou.


Le Père Fouettard, que je n’avais pas vu arriver, m’avait frappé de son fouet qui m’étranglait maintenant. Ce dernier s’était durci et le vieux me tenait au-dessus du sol avec. La Mère Fouettarde se libéra, me regarda avec un regard de triomphe.

-Je suis sûre que ta semence sera suffisante pour exciter la jeune princesse ! Et elle sera beaucoup plus facile à obtenir...

Deux lutucettes vinrent m’immobiliser les jambes pour m’empêcher de me débattre. Elles se mirent à me lécher les pieds. La mère fouettarde face à moi arracha d’un coup sec la lanière de cuir de sa veste et ses deux gros seins jaillirent en dehors. Elle déchira ce qui restait de mon caleçon et sourit en voyant mon érection totale :

-Ça va être encore plus rapide que ce que je pensais !

Elle glissa ses doigts le long de ma queue et les serra sans ménagement, me branlant ainsi rapidement. Elle approcha sa poitrine, fourra mon engin entre ses seins et, les pressant fortement l’un contre l’autre, se mit à monter et redescendre en me fixant de ses yeux de psychopathe.


J’étais très excité et je savais qu’il ne le fallait pas, mon plaisir se communiquerait à Noëlle et nous serions tous deux perdus. Pourtant cette impression d’interdit m’excitait encore plus. Le travail de la Mère était très habile et les petites putes de lutucettes me léchaient toutes les parties du corps qu’elles pouvaient atteindre. Il fallait que je tienne. Je tentai de regarder le Père Fouettard pour gagner du temps. Son rictus mauvais me calma un peu, mais je ne pourrais pas faire abstraction longtemps de mes sensations physiques. La vieille sentit qu’elle n’avait plus autant d’emprise, elle m’empoigna la base du sexe et prit le reste dans sa bouche. Je pensais qu’elle s’arrêterait au niveau de sa gorge mais à ma surprise, elle prit une inspiration et l’avala jusqu’à ce que sa bouche atteigne mes couilles. Jamais je n’avais ressenti pareille sensation ; je lui pénétrais la gorge et tandis que ma queue semblait aspirée au fond, la fin était proche.

- DIX, NEUF, HUIT, SEPT...

Et ce foutu compte à rebours que j’avais encore oublié et qui semblait prévoir le moment où je gaverais la mère comme une oie. Nos corps seraient ensuite réduits en un bain de chair et de sang, tout cela s’annonçait très joyeux.

- QUATRE, TROIS, DEUX... SYSTÈME DÉSACTIVÉ !

Sans comprendre ce qui venait de se passer, je dus pousser un cri en éjaculant en grande quantité au fond de la gorge de ma tortionnaire. Après en avoir avalé une partie, elle s’enleva et laissa gicler le reste sur les fesses de Noëlle qui était toujours attachée. J’entendis quelques gémissements de sa part provoqué par la résistance qu’elle essayait de s’imposer à elle-même. Au milieu de cette débauche une grosse voix s’éleva soudain.

- Ooh, ooh, ooh ! Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?
- Papa ! S’écria Noëlle. Dépêche-toi, il tente de réaliser la prophétie !

Le Père Fouettard relâcha son étreinte autour de ma gorge et je tombai à terre. Le couple sado-maso s’était désintéressé de nous pour faire face à Papa et Maman-Noël, qui avaient fait irruption dans l’entrepôt.

- Mon vieil ennemi ! Siffla le Père Fouettard comme un serpent.
- Mon usine était à deux doigts de se faire détruire, mes employées ont le cul défoncé, une bande de sado-maso se balade partout, un parfait inconnu éjacule sur les fesses de ma fille bien-aimée et tout ça à cause de toi ! Ooh, ooh, ooh ! Prépare-toi à subir mon courroux !

Son regard dur croisa le mien quelques instants :

- Quant à toi, je ne sais pas qui tu es mais je m’occuperai de ton cas plus tard. En attendant, emmène ma fille en lieu sûr, et rhabille-toi s’il te plaît !
- Oui Monsieur ! Dis-je, tentant de faire bonne impression, ce qui était peine perdue étant donné mon érection qui n’était pas encore descendue.

Mais sans jeter un œil au combat que se livraient les quatre quinquagénaires, je détachai prestement Noëlle et me frayai un passage à coup de chaîne entre les lutucettes toujours en manque. Aucun de nous deux n’avait les fesses couvertes, ainsi nous ne prîmes pas le toboggan de glace mais plutôt une draisine qui traînait sur des rails en contrebas. L’un face à l’autre nous nous mîmes à abaisser et remonter le levier afin de prendre de la vitesse et semer la meute qui courrait derrière nous. Le Père-Noël était malin, c’était le seul moyen de transport qui m’empêcherait de toucher sa fille. Une fois que nous prîmes de la distance, Noëlle sembla retrouver sa langue.

- Mon père est fou furieux ! Et pas seulement à cause du foutoir qu’il y a partout et du retard qu’on va prendre sur les livraisons, il a deviné que j’ai perdu ma virginité ce soir. Et ce n’est que parce qu’il croit que c’est l’œuvre du Père Fouettard qu’il ne t’a pas tué sur-le-champ. Il ne faut pas que tu restes ici !
- Ouais, dis-je l’air songeur, en plus j’ai laissé Rupert foutre le camp !
- De quoi tu parles ?
- Oh, non, laisse tomber...

Les rails se terminèrent devant un vieil ascenseur rouillé. Nous entrâmes. Tous les boutons étaient jaunis et poussiéreux. Noëlle souleva le banc pour trouver un autre bouton qui brillait d’une lueur rouge-rose.

- Même mon père ne connaît pas les accès qui mènent à ma chambre !

Elle appuya, l’ascenseur prit une accélération vertigineuse en hauteur, à gauche, à droite, en avant, avant de redescendre et s’immobiliser dans un grand fracas. Noëlle ouvrit la porte et me fit signe de passer. Ce faisant, nous sortîmes de ce qui était une des armoires da la chambre princière. Une épaisse moquette rouge recouvrait la pièce et des draps de toutes les couleurs recouvraient les murs. Dans l’un des coins, un grand jacuzzi de marbre trônait, entouré par des centaines de flacons contenant les essences du monde entier. Un grand lit à baldaquin drapé de soie trônait au centre de la pièce.
Noëlle me prit par la main et me tira dans cette direction.

- Il y a une chose à laquelle mon père n’a pas pensé. Ce vieux con me préserve trop et m’empêche de vivre comme une fille normale. Grâce à toi, j’ai découvert les plaisirs de la vie... Et la nuit n’est pas encore terminé : je veux que ce soit toi qui hérite du pouvoir dont mon père a tellement peur.

Ce disant, elle m’invita à monter dans son lit, derrière la parure de soie, honneur ultime que peut faire une princesse à son amant courageux. Elle s’allongea, comme au ralenti, au milieu des innombrables coussins en me souriant. Je caressais ses jambes douces, de mes mains et de ma langue. Je remontai jusqu’à son ventre.

- Attends, me dit-elle.

En un claquement de doigts qui provoqua comme des étincelles, son bustier se détacha de lui-même, enfin. Je pus ainsi parcourir toute la surface de ses seins, lui en mordiller les tétons. Les petits rires coquins que je lui provoquai m’invitèrent à continuer. Je lui léchai, mordis le cou, les lèvres, les joues, la nuque, les épaules, le dos, les fesses à travers son éternel jupette. D’un autre claquement de doigt, elle la fit sauter, je pus admirer le bas de son dos et la naissance de ses fesses, je les léchai, mordillai, redescendis jusqu’à trouver la zone sensible, son vagin commençait à se dilater et la cyprine coulait légèrement. C’est à ce moment-là que quelque chose de terrible aurait dû m’empêcher de devenir le nouveau prince, mais seule la voix douce et excitée de Noëlle troubla le silence :

- Vas-y...

Et n’y pensant plus, j’appliquai ma langue sur ses parties les plus sensibles. Goûtant son clitoris, parcourant les contours de ses lèvres puis y pénétrant pour redescendre vers l’entrée de son vagin. Sa cyprine au léger goût de cannelle aidant je m’y engouffrais autant que possible, avant de me mettre à faire des aller et retours stratégiques entre son clitoris et le fond de sa chatte, faisant parfois un détour par son anus, caressant toujours son corps à l’aide de mes mains. Elle gémissait de sa manière si particulière, discrète mais d’autant plus excitante. Elle me désirait, m’invitait à la lécher encore plus fort, et pour cela, me tira contre elle en basculant sa tête en arrière. Bientôt elle jouit, innocemment, frissonnant de tout son corps, je remontai pour étouffer ses cris de mes baisers, lui faisant goûter sa propre cyprine qui en descendant dans ma gorge m’emplissait de chaleur et d’une vigueur nouvelle. Sans réfléchir, je lui offris mon sexe, dans son orifice toujours aussi étroit mais parfaitement lubrifié. Mon organe en avait vu de toutes les couleurs ce soir-là, pourtant il n’y avait qu’à l’intérieur de Noëlle qu’il se sentait parfaitement à sa place. Ce qui suivi fut un savant mélange de jeune et innocente tendresse et de plaisir sauvage, parfois violent. Pas une parcelle de son corps n’échappa à mes caresses, pas plus que je ne pus éviter sa langue et ses ongles. Nous jouîmes à l’unisson dans un bain d’étincelles, nous nous étreignîmes longuement en l’air avant de retomber l’un sur l’autre, épuisés.

- Il vaudrait mieux que l’on y aille avant que le jour se lève. Je vais terminer ma tournée et comme ça, j’aurai pas à fournir des explications avant demain.

Ouvrant paresseusement l’œil, je vis Noëlle debout à côté du lit en train de remettre les bouts de velours minimalistes qui lui servaient de vêtements.

- Debout fainéant ! Elle m’embrassa sur la joue avec une tête de saltimbanque. Étant donné que je n’avais plus de vêtements, elle me donna une vieille tenue de son père qui m’allait à merveille ; j’ignorais qu’il avait été maigre à une époque.
-Ça te va bien !

Puis elle me tira comme à son habitude par la main, en sautillant gaiement.

- Cet accès mène directement à mon traîneau.

Je somnolai le long du voyage de retour malgré le froid toujours aussi perçant. Avais-je vraiment vécu tout ce qui s’était passé ? Certainement oui étant donné que j’étais à nouveau dans un traîneau au milieu des nuages, à côté d’une coquine un peu folle en train de fouetter une bande de caribous volants. Il commençait à faire jour quand nous rejoignirent les côtes normandes, mes grands-parents étaient déjà certainement debout et devaient me chercher partout, à moins qu’ils eussent déjà oublié que j’avais été là le soir d’avant, ce qui, en y réfléchissant, n’était pas improbable. Nous nous posâmes discrètement sur le toit de la vieille baraque. À ce moment seulement je me rendis compte que cela signifiait peut-être un adieu définitif à la charmante Noëlle. Je me retournai vers elle, ses cheveux et le pompon de son bonnet s’agitaient dans le vent, pour la première fois elle avait un regard sérieux et un peu triste :

- Écoute, mes pouvoirs, ceux que tu as obtenus, le traîneau, tout ça ne fonctionne que le soir de Noël. J’ai peur qu’on ne se revoie pas pendant un bout de temps ! Dans tous les cas, merci, grâce à toi...

Mais je ne la laissai pas terminer sa phrase. Déjà je l’étreignis, l’embrassai langoureusement et glissai ma main sous sa jupe pour lui serrer les fesses. Je tentai de dédramatiser la situation.

- Merci à toi aussi ! Sans toi j’aurais passé un Noël vraiment pourri !
- Les gens ne croient plus à la magie de Noël... Mais on va changer ça ! Maintenant tu n’as plus le choix de toute façon alors sois à l’heure, ici même, l’année prochaine !
- Mais ce sera avec plaisir, joyeux noël ! Lui lançai-je, ce qui n’était pas dans mon habitude mais sonnait bien, à mon avis, pour terminer ce conte de Noël.
- Joyeux Noël à toi aussi !

Après m’avoir aidé à descendre dans la cheminée, elle s’envola au loin, retrouver ses problèmes familiaux. Surgissant de la cheminée avec ma tenue rouge et blanche, je tombai nez à nez avec mes grands-parents. Je leur dis le premier truc sensé qui me passa par la tête :

- Ooh, ooh, ooh, mes p'tits loups !
- Oh, notre charmant fiston nous fait une surprise ! Ça c’est une riche idée !

Et l’enthousiasme de ma grand-mère me sauva. Quand à mon grand-père, je sentais que derrière son regard absent, il se doutait de quelque chose. Peut-être qu’il avait le nez aussi fin que ce vieux Rupert. Peut-être aussi qu’il en savait beaucoup plus que ce qu’il voulait laisser croire. Je n’avais pas fini de percer tous les mystères de cette histoire...


Pour l’heure, le petit déjeuner m’attendait et je remis toutes ces questions à plus tard.
  
Histoiire racontée sur
album mature

Prochaine histoire vers le 20 janvier2008

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